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Dès la réception du courrier par les cheminot.es contractuel.les fin septembre sur la migration de leurs droits entre la CPAM et la CPRPF, nous avions écrit : « C’est pourquoi nous resterons vigilants, sur les conditions de cette période transitoire, sur le fait qu’en rajoutant un interlocuteur entre les contractuel.les et la caisse de sécurité sociale, cela n’engendre pas des retards, voire des oublis dans la gestion des arrêts maladie ».
Constater l’ampleur du sexisme et ses multiples manifestations, des blagues les plus ordinaires aux agressions les plus violentes, est un premier pas. Mais cela ne revient pas à donner carte blanche à nos dirigeants dans la lutte contre les violences sexistes et sexuelles ; la direction de la SNCF a une longue habitude d’instrumentaliser la lutte contre le harcèlement et le sexisme pour réprimer qui elle souhaite et couvrir ses protégés. On se souvient de notre collègue Marion, à Strasbourg, mise à pied avec dernier avertissement, pour avoir osé dénoncer le harcèlement sexiste dont elle était pourtant victime devant témoins. Plusieurs cheminots se sont vus réprimer sur la base de dossiers montés de toutes pièces par des cabinets extérieurs mandatés par l’Éthique et la direction. Les méthodes de l’Ethique sont d’ailleurs plus que douteuses : enquêtes à charge, interdiction de se faire accompagner par un représentant syndical, impossibilité de consulter
Le Rassemblement National veut encore une fois apparaître comme un parti qui serait du côté des
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La direction de SNCF se vante régulièrement de lutter contre les violences sexistes et sexuelles au sein de l'entreprise et dans les trains. Elle multiplie les coups de comm', affiches en gare ou encore déclarations lénifiantes lors de la journée du 8 mars par exemple.
Soutien à Marion et à Régis, menacés de licenciement pour avoir dénoncé des violences sexistes et sexuelles au travail!
Alors que le rapport du Haut Conseil à l’Egalité (HCE) sur le sexisme alerte sur un risque de régression des droits des femmes, ce 8 mars 2024 doit être l’occasion de rappeler que l’égalité entre les femmes et les hommes est un principe constitutionnel qui doit se concrétiser dans la vie de tous les jours et dans le monde du travail. Malgré la grande cause nationale du quinquennat pour l’égalité femmes-hommes, nos organisations constatent l’absence d’avancées concrètes que ce soit en matière de rémunération, d’articulation des temps de vie ou de violences sexistes et sexuelles dans le monde du travail. De fait, les conditions de vie et de travail des femmes restent trop souvent l’impensé des politiques publiques et des stratégies RH des employeurs.
25 Novembre: soyons nombreuses et nombreux pour la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes.
Le compte n'y est pas !
Le 8 mars n'est pas la journée de la femme, mais bien la journée internationale des droits des femmes".
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