Dès la réception du courrier par les cheminot.es contractuel.les fin septembre sur la migration de leurs droits entre la CPAM et la CPRPF, nous avions écrit : « C’est pourquoi nous resterons vigilants, sur les conditions de cette période transitoire, sur le fait qu’en rajoutant un interlocuteur entre les contractuel.les et la caisse de sécurité sociale, cela n’engendre pas des retards, voire des oublis dans la gestion des arrêts maladie ».
Evidemment, nous avons eu raison de nous méfier, puisque malgré notre interpellation à la direction la semaine dernière et sa réponse nous disant que tout serait rentré dans l’ordre avant lundi, nous sommes encore une fois forcés de constater que la direction de la SNCF main dans la main avec celle de la CPRPF a brillé par son insuffisance, pour ne pas dire plus …